Il y a bien des semaines, voire des mois, que j’ai voulu écrire ces quelques mots sur toi. Dans ces premières phrases, je tiens à m’excuser de me faire aussi familière et d’oser te tutoyer, bien que nous ne soyons pourtant pas d’aussi proches amis.
Lettre ouverte à Ima : Et mon premier fût ton dernier…
