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Coup de coeur - Page 4

  • Cher Père Noël...

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    Cher Père Noël, il y a longtemps que j'ai arrêté de croire en toi. Il y a des années que j'ai cessé de t'écrire à chaque fin d'année. Et avec, il y a des années que j'ai arrêté d'esperer. Mais cette fois, cher père Noël, je me permets de te recontacter, car t'écrire me permet à nouveau de rêver.

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    Aujourd'hui, dans mon coeur de grande enfant, dans mon âme de petite adulte, j'ai des tas de choses à te demander:

    1 – s'il te plait ne me donne pas de jouet, offre moi l'inconcret

    2 – s'il te plait ne m'apporte pas de poupée, prend soin de celle que j'ai en vrai

    3 – s'il te plait ne m'offre pas tout un tas de bonbons, mais sucre plutot mes moments

    4 – s'il te plait ne me fais pas cadeau de mon futur, donne le meilleur à ma puce

    5 – s'il te plait ne me fais pas de surprise, mais assure mon avenir

    6 – s'il te plait ne me dis pas que tout va bien, dis moi que tout ira mieux

    7 – s'il te plait ne te rappelles pas de mes bêtises, crois en ma franchise

    8 – s'il te plait ne voit pas mes inachevés, éxhalte toi sur mes projets

    9 – s'il te plait ne garde pas mes sombres pensées, fais rayonner mes plus belles idées

    10 – s'il te plait n'attend pas le jour de Noël pour me faire ces petites faveurs, fais le pour chaque minutes et pour chaque heure.

     

    Voilà ce que j'aurai voulu te demander. Je sais que je ne suis sûrement pas ta priorité car il y a bien plus qui ont bien moins que moi sous d'autre toits, mais s'il te plait j'ai besoin de croire à nouveau en toi. Alors si tu as un peu de temps à m'accorder, regarde au fond de mes yeux, et tu sauras que ce sont mes rêves les plus secrets, et que je compte sur toi pour les garder, pour pouvoir ensuite les réaliser.

    Merci Père Noël!!! et je te promets, que pour toute l'année à venir, je ferai en sorte de tout voir d'un oeil de petit enfant, avec toute l'innocance mais toute l'espérance.

     

    Gros Bisou!

  • Dadee Andrianaivoson, de l'Ombre à la Lumière

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    Il a baigné dans le monde de la musique depuis sa jeunesse, et reste un acteur actif de la culture. Si longtemps il est resté derrière les autres, et s’est consacré à promouvoir les jeunes talents ainsi qu’à défendre les idées prometteuses, aujourd’hui il a décidé de faire connaitre une autre facette de lui, à travers un album en solo. Lumière sur le parcours de Dadee Andrianaivoson dans le tableau culturel du pays.

    L’homme fort de l’ombre.

    Dadee Andrianaivoson est un nom qui circule depuis un bout de temps dans le monde culturel et particulièrement de la musique à Madagascar. Mais depuis il a toujours été associé à d’autres noms. Dans ses débuts, ce fut « Dadee de L.A Doudh », groupe de rock qui a eu ses heures de gloires vers la fin des années 90 et dans lequel il tenait le rôle du bassiste. Depuis le début des années 2000, période à laquelle le groupe a décidé de se taire, Dadee est passé derrière la scène. Il est à l’origine de plusieurs plateformes et collectifs culturels. Ainsi, Dadee Andrianaivoson a été associé à Itamaso, Kulture L, Andalana et bien d’autres. Pendant quelques années, il a ainsi consacré ses journées, et souvent ses nuits, à produire d’autres groupes. Quelques compilations sont sorties du projet Andalana Music, et de jeunes groupes ont même pu se faire un nom grâce à ce dernier, pour n’en citer que Moajia , NaTaA dB ou encore Krutambull qui a fait son passage au sein du collectif. Passé maître en la matière, Dadee Andrianaivoson a su tracer un chemin pour ces jeunes groupes, et a su inculquer à plus d’un l’envie de chercher plus loin que ce que la masse commerciale offre. Aujourd’hui, il a pris la décision de marquer ses propres repères et de laisser les traces de ses propres émotions. Ainsi est né « PARAMOUR ».

     

    PARAMOUR
    Ce n’est pas une idée nouvelle, mais juste la réalisation et la concrétisation d’une dizaine d’années de passion, de partages, de rencontres et d’émotions. Dans le maxi, qui sortira prochainement, Dadee partagera ce qu’il a longtemps renfermé en lui. PARAMOUR sera autant une déclamation, du slam, des chansons à textes mais aussi un bel ensemble de mélodie.Très explicitement, PARAMOUR a été fait par amour pour la musique. d'après les quelques titres qui ont déjà été mis en boite, il a troqué les gros sons du rock et autres son lourd avec lesquels il a été connu contre une autre facette plus posée et plus profonde. Dadee a également laissé le statut de bassiste pour se consacrer à la guitare. PARAMOUR peut également être défini comme un album de musique du monde. Il ne s’agit en rien de « World music » mais juste que le monde s’y retrouve. Des sons d’ici et d’ailleurs, à travers des instruments malgaches, des touches du pays, mais également des sonorités des îles et des techniques d’autres frontières, mais toujours au temps de la nouvelle technologie aussi.

    Après avoir prêté main forte et après avoir œuvré pour les autres, Dadee Andrianaivoson laisse ainsi ses propres empreintes à travers son maxi. Mais ce n’est que le début d’un nouveau voyage, ainsi bonne route sur le long chemin de la musique et de la culture !

    Anja RALAIARIJAONA

  • L'Imby, avance lentement mais sûrement...

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    On peut ne pas aimer le rock, mais on ne peut pas l'ignorer, ou du moins apprendre a l'écouter. C'est le but d'une nouvelle formation qui a vue le jour il y a de cela quelques mois. “Apprendre aux gens à aimer la musique, à travers le rock”, c'est en ces mots que s'est exprimé Jérémia, Lead Guitare du groupe L'IMBY. Un nom peu commun, mais à retenir.

     

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    L'IMBY, avec Toky au micro, Jedith au clavier, Matsoutsou à la batterie, Rado pour manier la guitare bass, Jérémia , lead solo et rythmique, et une autre guitare rythmique vient orner l'ensemble, avec Dadazaka. C'est un groupe qui s'est formé il y a quelques années qui évolue dans un genre, encore peu commun a Madagascar: Le Power metal. Une sonorité proche de la musique de Helloween, et du style vocal de Bruce Dickinson de Iron Maiden (Pour les références). Bien que se connaissant depuis des années, la formation n'a fait jusque là que travailler leur musique dans les studios. Elle n'a entamée la prise de son que vers le début de cette année. Depuis le mois de juin, le groupe a sorti 3 titres “Fahafahana” peu avant la fête nationale, pour marquer sa volonté de faire connaître son opinion sur les relations que devraient avoir les Malgaches, et leur rappeler également que la victoire de la liberté doit profiter a tout le monde. Coté musicale, dès ses premières notes, la guitare donne son ton. Très rythmée, la batterie met également l'oreille a l'épreuve. Riche en technique et en créativité, "Fahafahana" deçoit cependant quelque peu coté prestation vocale. Pour une musique dite dure, la sonorité vocale décale un peu de la musique. L'ensemble n'est certes pas désagréable, car c'est un titre plus joué, que chanté. Quelques semaines plus tard "vintsy" est sorti. Un titre qui commence calmement sous les notes du clavier, puis progressivement rentre dans le jeu d'échanges et de relais d'instrumental. C'est un morceau qui définit surtout cette capacité de relayer ou de mélanger harmonieusement calme et rythme.

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    Aujourd'hui , le groupe sort "ilay sangany", ce sont là, trois titres qui divergent, mais qui restent fidèles à la définition donnée par les membres du groupe, et montrent les capacités techniques des musiciens, ainsi que la volonté du jeune Toky à se diversifier dans les genres. <!-- @page { margin: 2cm } P { margin-bottom: 0.21cm } -->

    Le projet de sortir un album est déjà en cours, mais le travail reste d'une longue halaine. Le groupe attend également d'être bien rodé, avant de s'aventurer sur de grandes scenes , mais prône déjà quelques petites apparitions dans des petites salles.

    Avec une musique très mélodique, parfois agressive, mais au final agréablement harmonieux, la musique du groupe s'apprend effectivement à être écoutée. Le but de la formation est d'ailleurs de vulgariser ce genre. De ne plus se limiter à un public averti et de casser cette image “renfermée et privée” du métal.

  • Jérémia, l'art au bout des doigts

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    Un beau visage, une belle forme, un beau charisme , et dans tout cela, une tête bien remplie. Jérémia Jonathan Lazasoa Rasolofondraibe, a depuis son enfance baigné dans l'art. Très jeune, il prends déjà son crayon et dessine quelques esquisses ici et là, et a 20 ans il décide de prendre des cours de dessin au CGM anlakely. Depuis, il a développé lui même son oeil artistique et expose ses oeuvres dans les cafés et restaurants. Bien que passionné, il n'a cependant jamais fait d'exposition en solo, mais s'est souvent associé à d'autres artistes dans des collectifs.

    Conscient de son potentiel pourtant, Jérémia exploite ses talents sous d'autres formes et à une échelle plus grande, et plus commerciale aussi. Il a integré depuis 2008 la boite NovoCom Ogilvy et devient graphiste pour des planches publicitaires.

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    A coté de sa passion pour le dessin , Jérémia a également la musique dans le sang. Il commence par quelques notes en 1999, et fini par prendre des cours chez Tovo Andrianandraina. Mais il a plus un penchant pour la musique rock, et décide ainsi de quitter les cours pour apprendre de lui même. Totalement autodidacte, il crée le groupe « L'Imby » en 2009, avec quelques jeunes de son entourage, et y tient la place du lead guitare. Aujourd'hui, ces 3 guitares éléctriques et ses 2 guitares seches sont ses plus précieuses confidantes, et son crayon son fidèle gagne pain. Jérémia est ainsi la preuve que belle gueule ne rime pas forcément avec tête vide.

     

  • Leçon de communication

     

    A une soirée, tu vois une très jolie nana.
    Tu t'approches et tu lui dis:
    "Je suis un très bon coup."
    Ça, c'est du marketing direct.



    Tu es à une soirée avec des copains et vous voyez une très jolie nana.
    Un de tes amis s'approche et lui dit en te désignant :
    "Tu vois ce garçon là-bas, c'est un très bon coup."
    Ça, c'est de la publicité.



    A une soirée, tu vois une très jolie nana.
    Tu lui demandes son numéro de téléphone.
    Le lendemain, tu l'appelles et tu lui dis :
    "Je suis un très bon coup."
    Ça, c'est du télémarketing.



    A une soirée, tu vois une très jolie nana.
    Tu la reconnais, tu t'approches et tu lui rafraîchis la mémoire :
    "Tu te souviens que je suis un très bon coup?"
    Ça, c'est du "customer relationship management".



    A une soirée, tu vois une très jolie nana.
    Tu te lèves, tu arranges un peu tes vêtements, tu t'approches et tu lui sers un verre.
    Tu lui ouvres la porte lorsqu'elle part, tu ramasses son sac lorsqu'il tombe.
    Tu lui offres une cigarette et tu lui dis : "Je suis un très bon coup."
    Ça, ce sont des relations publiques.



    A une soirée, tu vois une très jolie nana.
    Elle s'approche et te dit :
    "J'ai entendu dire que tu es un très bon coup."
    Ça, c'est du branding, le pouvoir de la marque!



    A une soirée, tu vois une super belle nana.
    Tu la mates avec des potes, tu fais des réflexions très fines, tu te bourres la gueule...
    Tu ne fais rien du tout et tu rentres bredouille.
    Ça, c'est la réalité du marché.