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Coup de gueule

  • Poetic Lover, poetiquement pas lovely

     

    Je suis venue, j’ai vu, je suis déçue.

    Voilà en quelques mots le résumé de mon après-midi de ce 19 mai. Certes, j’avais les étoiles dans les yeux, dès lors où l’on a annoncé la venue des « Amants Poetics » à Madagascar pour deux dates. Non pas par le fait d’être une fan absolue, mais dans l’espoir de revivre quelques épisodes de mes années collèges. Comme je l’ai rappelé, nous nous sommes dragués sur « cette femme », « prenons notre temps », nous nous sommes aimés sur « Fier d’avoir ton love », nous avons rompu sur « Qu’il en soit ainsi » et avons déprimé sur « Girl »… et j’en passe. Des amours d’ado bien sympa et bien Bisounours.

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  • "Vu"

    Il y a de ces petites choses dans la vie, qui semblent insignifiantes, mais qu’est-ce qu’elles t’égayent la journée. Comme : « Trouver un billet de banque (peu importe la somme) enfouie dans une des poches de ton pantalon ». « à la fin de la journée, enlever les chaussures qui t’ont écrasées les pieds depuis la matinée ». « Faire une longue, longue..., longue marche sous un soleil de plomb, et au bout du chemin apercevoir une place à l’ombre »… et j’en passe de ces milles et une choses.

     

    Comme dirait un bon nombre de nous, surtout quand nous nous trouvons dans une situation – malheureusement :) – amoureuse . « un rien peu faire sourire, mais un rien aussi peu faire souffrir ». Récemment, (tu parles ça fait des années mais j’ai essayé de ne pas m’en rendre compte) j’ai découvert les aléas de ces sentiments de joie et de colère alternées en un rien de temps. « L’ascenseur émotionnel » disait Gad El Maleh. Pour ceux qui n’ont pas vu le sketch, en résumé, c’est quand tu passes d’un sentiment de joie totale, à un autre totalement opposé, en un temps record. Et ce « phénomène » je l’ai vécu plusieurs fois, sans même bouger de ma chaise, parfois sans même me lever du lit, parfois au bureau, parfois dans la voiture… bref , où que je sois. Oui oui, depuis la création de Facebook, et la malheureuse journée où j’ai décidée d’adhérer à ce « réseau social », je me fais des petites virées d’adrénaline de sentiments comme ça. Et tout ça grâce (ou à cause, c’est selon) de DEUX (2) petites lettres, qui peuvent rendre ta journée cauchemardesque. Oui, je suis sûre que nous l’avons tous ‘(et surtout toutES) vécu ce moment, tu sais, celui où tu envoies un MP à « cette » personne, que tu attends désespérément que le petit cercle rouge, avec le chiffre (1) dedans, s’affiche sur la petite enveloppe, sur l’icône du milieu, en haut à droite,  de la barre « facebook » !!!! ouiii !! ce moment là !!! mais que tu ne reçois pas ce petit cercle rouge. Après de très longues minutes interminables, tu fini par vérifier – tu ne sais pas trop ce que tu vérifies au fait – et que là tu découvre : « Vu à 09h38 », bref, 02 minutes après que tu aies envoyé le MP, et qu’il est déjà 11h53 à ta montre !!!! BREF !! ouiii ce moment là !!! tu sais quoi !!!!!

    he bien, ce moment là, j’ai décidé de l’appeler le moment du « m’as-tu vu ? » (rien à voir du tout ceci dit) mais il n’en reste pas moins que c’est un moment que je déteste. Car à partir de cet instant, le reste de ma journée devient une suite de faits et de gestes, sans trop de raison, sans logique, parfois même, sans trop de signification. Oui, a partir de ce moment, ma vie devient « imagination et questionnement ».

    DEUX petites lettres « VU » m’ont fait écrire toute une page de ceci et de celà. Halala, celle là, elle n’est vraiment pas bien dans sa tête diriez vous. Peut-être bien que oui, peut –être bien que non. BREF mon but dans tout ça ?! je ne sais pas, histoire de dire que JE N’AIME PAS CES DEUX LETTRES LA !!!!

     

  • Je Te Hais...

     

    Je te hais...
    Pour ce que tu es
    Pour ce que tu fais
    Pour ce que tu dis
    Je te hais pour ce que je visHaine

     

    Je te hais...
    Pour tous tes mots doux
    Pour tout ton amour
    Pour tout ce qui s'est passé
    Je te hais, peut être plus que jamais

     

    Je hais...
    Ta façon de me regarder
    Ta façon de me parler
    Ta façon de m'embrasser
    Je hais tout ce qu'on a fait

     

    Je hais...
    Ta façon de m'aimer
    Ta décision de m'oublier
    Ta manière de m'ignorer
    Je hais cette réalité

     

    Mais je te hais car il y a encore pire
    Je te hais car je ne sais pas de haïr.

     

    26 sept 04

  • Sad, Bad...

     

    Ce soir, contrairement aux autres soirs, je ne me sens pas du tout d’humeur à rigoler, ni même à faire marrer. Je suis plus d’humeur à gueuler (sur n’importe qui) et à me cogner (heuu… pas sur n’importe quoi par contre). Là ce soir, j’aurai voulu jouer le rôle du méchant dans « le massacre à la tronçonneuse », ou dans « Hannibal » ou tiens, tenir le rôle d’un serial killer. Oui, j’aurai voulu être le méchant, pour changer un peu de ce que je suis vraiment.

    Un jeu de rôle qui pourrait être amusant non !!?? bah oui, pour une fois, ben je ferai mal comme les gens me font mal. Je trahirai comme les gens me trahissent, je haïrai, comme les autres me haïssent, je mentirai comme les autres me mentent, je traquerai, comme ces cons me traquent… oui, je l’avais dit, ce soir je suis d’une humeur massacrante.

    Mais non, bien sûr je ne le ferais pas. Non parce que je suis moi, celle qui est câline, celle qui est gentille, celle qui est consciencieuse et qui excuse bien souvent, celle à qui ont fait des coups vaches, mais chez qui ont se repent quand même.  Alors, je vais garder mon rôle de celle qui se fait avoir à tout bout de champ, car à la fin, les gentils prennent toujours le dessus sur les méchants !!!

  • Un jour, puis deux, puis.. toujours

    Ce matin, je me suis levée (du pied droit je crois) et comme d'habitude je me suis regardée dans la glace (hooouuuuaaaaa) l'horreur ! Cheveux tout ébouriffés, les yeux bouffis, une mine d'enterrement, un pyjama de travers (hi hi hi, j'avais trop sommeil) bref, rien de beau à voir. Je me suis faite une peur. Alors je ne suis pas restée longtemps devant cette image trop moche de moi-même , je me suis vite mise sous la douche et me suis pomponnée comme une ... rien au fait, j'ai juste fait le nécessaire pour garder un minimum d'estime sur ma personne. Après une bonne fraîcheur et une bonne senteur, go to the bedroom again, un petit tour dans ma petite buanderie, et là, je bloque : zut, je ne sais même pas quoi mettre pour au moins paraître présentable. Hé oui, j'ai encore oublié de préparer ma tenue pour ce matin alors qu'hier soir, et celui d'avant, et celui d'avant aussi et encore celui d'avant, ... je me suis dite que je ferai au moins l'effort de faire ça. Mais non, je ne fais que me le dire finalement. Tout compte fait je ne suis vraiment pas de celles qui se préparent à fond la veille. Et pourtant aussi, même si je ne fait pas partie de la belle gent féminine qui met presque 2 heures pour être au point, je me rends compte que je sèche lamentablement sur le thème : « s'habiller le matin ». Alors je sors tout mon bric-à-brac je lance un pantalon à gauche, puis l'autre à droite, un autre sur le lit, et c'est la même chose avec les chemises, les hauts, le sweat. J'enfile vite fait les tenues qui me semblent les plus correctes et les plus assorties et hop, le tour est joué.

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     Je me précipite pour prendre un morceau de tartine, à peine le temps d'avaler une gorgée de chocolat chaud, et aaïïee, en plus il est brûlant ! Je file, je saute dans le car du personnel, et voilà. A peine si je reste 10 minutes assise et hop ! je descends et c'est partit pour près de 15 heures de boulot... et ding dong ! ouff enfin l'heure de rentrer , mais ce n'est pas non plus une partie de plaisir. C'est à ce moment de la journée que tu n'as vraiment pas envie de courir et pourtant, non seulement on court après les transports en commun mais en plus on joue à la mêlée et c'est pas fini, les embouteillages commencent, la radio du bus qui envoi des morceaux à te tordre la tête à fond la caisse, le receveur t'énerve parce qu'il ne t'as pas rendu ta monnaies...
    Après près de 45 minutes de galère me voilà enfin à la maison. Home sweet Home ! Mais, surprise, ma chambre ressemble à un bordel foutoir !!!! j'avais complètement oublié que j'avais lancé mes fringues par-ci et par – là ce matin. Le temps que je fasse mine de ranger tout ça, c'est l'heure du dîner, ensuite pas le temps de me mater un bon film comme la plupart des gens, et je suis trop claquée pour lire un bon bouquin. Vers 23 heures, je me couche.
    Et dodo !
    RRRRRRRRonnnnnnfffffffffffllllllllllll rrrrrrrooooooonnnnnnnnffffllllll
    Triiinnng !

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    « Demain » est arrivé, et comme je n'ai toujours pas préparé ma tenue hier soir, c'est le même film qui revient...